Livre d'or
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42 message(s) dans le livre d'or
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« Manuel, le curé de Benelas » : Nous voici happés à nouveau ; par un roman drôlement construit… une légende peut-être ?
D’abord, on découvre la vie de Manuel, composée autour d’un chant humaniste mais au rythme saccadé du glas franquiste (Comment un fils de paysan honore la fierté de son père, de son village…malgré les difficultés de la vie rurale) ;
Puis l'histoire recommence. Une dette familiale illumine ce récit, et au-delà, la vie de ces prêtes rouges oubliés et sacrifiés, avec la bénédiction de leurs « saints » Pères ou Pairs.
Encore un beau texte, Miguel, simple mais au fond ravageur qui nous ramène toujours à l’Essentiel.
Bien Amicalement, en attendant avec plaisir et curiosité la lecture de "Juanito, l'enfant volé".
Nadine -
Les deux vies et la mort de Paco Molina ... Quel titre étrange. Car qui peut avoir eu deux vies ? Alors, on s'attend à de la SF, du Fantastique... Et nous voici à l'orée d'un événement tragique -la montée de franco- qui va marquer notre personnage ; et au-delà de ce livre, des hommes et des femmes de chair venus s'exiler en France avec leur foi inébranlable en la République et que nous côtoyons aujourd'hui à travers leurs enfants, petits enfants, petit petits.... Alors oui, ce héros a bien 2 vies, par conviction, par l'Histoire... et malgré les tourments de la vie, ce funambule entre 2 vies incarne des vertus qui illuminent notre humanité.
j'ai lu ce livre comme un polar et au lieu de chercher des indices sur le criminel, on cherche hors d'haleine la réconciliation possible entre les Hommes. Et là, Miguel, aux dernières pages de ces deux vies, j'ai pleuré par la beauté de ceux qui lui survivent.
Un titre étrange et une histoire à vous couper de toute haine de l’Étranger. A lire sans modération, en toute humanité.
Superbe histoire, Miguel Ayala.
Bien Cordialement, Nadine
PS : pour les professeurs d'Espagnol : laissez-vous tenter et donnez-le à vos élèves pour illustrer cette période tragique. Il faudrait peut-être l'écrire en espagnol ...? -
Bonjour Michel,
Je viens de finir de lire votre dernier livre " Manuel, le curé de Benelas". Je l'ai dévoré!
A chaque lecture, je découvre une partie de l'Histoire que j'ignorais. C'est bouleversant de se rendre compte de la vie endurée par toute une population durant cette période.
Ce livre m'a énormément plu, tant par sa structure (la première partie m'a fait pensé au livre "Le dernier jour d'un condamné" de Victor Hugo) que par l'émouvant témoignage qu'il apporte.
J'espère que vous allez continuer à écrire, vous avez beaucoup trop de talent pour vous arrêter!
Bien à vous.
A bientôt
Sophie -
Dans la suite de la "mise en circulation " de tes livres , voici le commentaire d' une amie sur Juanito :
"Je me régale avec ce livre , je vais aller acheter tous les autres !" -
Sinon je te communique le retour qu'a fait mon ami sur tes deux derniers livres :
Quand je lis je suis lent ;là 2 fois d'une traite tellement que j étais présent aux côtés des personnages à la recherche de leur identité dans ce tumulte phalangiste.
J'ai eu beaucoup de plaisir et d'émotions à découvrir ces parcours de vie , ces livres ne se veulent pas historiques, loin des grandes batailles, des secrets politiques, seulement des faits de vie du quotidien, personnages à la fois engagés, ayant des convictions et discrets.
Le lecteur est libre de ses émotions , chacun réagit à sa façon en fonction de sa propre sensibilité, connaissance historique
Ces écrits ont du faire l'objet de recherches qui permettent au lecteur de s'approprier et d'accompagner encore plus les personnages dans des ambiances pesantes .
On comprend qu'il y a eu des milliers de Paco et Juanito durant cette période, animés par l envie de vivre et de savoir.
Je dirai que c'est une façon démocratique d'aborder cette guerre civile
Michel devrait poursuivre ses écrits, il a du talent, il aborde un sujet difficile mais à sa façon non observé jusqu'à présent , toujours un peu tabou ou les derniers témoins restent discrets soit par pudeur, par blessures ou ....par secret -
Voilà j'ai lu "Les deux vies et mort de PACO MOLINA " et j'en suis toute retournée ...
Il me laisse l'empreinte , comme le Grand Meaulnes D ALAIN FOURNIER ou CLIMATS DE ANDRE MAUROIS
Voilà , des livres qui marquent .......ou tu continues à te rappeler , plusieurs années après les avoir lus , l'histoire -
Mon copain a aussi adoré JUANITO : le style , la pudeur , le rythme , l'histoire .Comme le précédent il a été marqué pendant plusieurs jours et encore maintenant par l'histoire
Pour "Les deux vies et la mort de Paco Molina”
je l'ai passé à un autre copain , qui a adoré :
l'histoire l' a fait pleurer , il a apprécié le coté historique et documenté, la localisation par rapport à de nombreux lieux qu'il connait ...il a vraiment apprécié . -
J'ai adoré , j'ai adoré , j'ai adoré JUANITO l'enfant volé !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
Tout d'abord :
l'écriture : simple , légère
le rythme du livre : soutenu .Celà m'a fait penser à "une couse" , j'ai adoré ce rythme
le suspense qui tient en haleine jusqu'au bout
l'histoire : j'ignorai cette partie de l'histoire espagnole
Sujet grave qui touche profondément -
Superbe site qui immergE dans ta région, ta passion, ton histoire.
Je ne suis pas à jour au niveau de la lecture des livres mais je sais l'émotion de penser, parler, narrer, écrire, rêver et vivrel'Andalousie... Merci de nous le faire partager.
Très amicalement. A très vite.
Céline -
J'ai donc lu cette semaine vos deux premiers livres.
Quel talent! J'ai adoré! Votre premier roman m'a permis de comprendre ce qu'à pu ressentir mon arrière grand père maternel. Ils ont fuit Franco alors que ma grand mère était petite. Mais ils sont allés en Tunisie et il est mort en Tunisie. Ma grand mère est retourné en France plus tard lors du début de la guerre d'indépendance de la Tunisie et l'Algérie.
De cette période de vie de ma famille, je ne connais pas grand chose et c'est regrettable. Ce qui m'a le plus frappé est qu'en lisant votre premier roman notamment, j'ai retrouvé les expressions que vous utilisez au quotidien. C'était presque déroutant parce qu'en vous lisant je vous "entendais me lire le passage" du livre.
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